Cortinarius lubricanescens Soop 2001
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Cortinarius lubricanescens Soop 2001
Réactions chimiques : réaction à la soude violet grisâtre, à pourprée sur les lames, nulle ailleurs.
Spores amygdaliformes, 10-12,5 x 5,5-6,5 µm, modérément verruqueuses; basides à 4 (et 2 ?) stérigmates, 20-30 x 10 µm; arête des lames plus ou moins sterile par des cellules serrées, clavées, 20-30 x 8 prn; boucles présentes. Piléipellis constitué d'hyphes couchées, larges de 3-6 prn, hyalines, la plupart incrustées de gris, et d'une couche gélifiée, mince; hypoderme à éléments courts, cylindriques, x 5-8 µm, brun jaune.
Holotypus : Nova Zelandia, 1997, in herb. PDD sub num. 71006 conservatur.
Étymologie : de lubricus, « glissant », et canescens, grisonnant en vieillissant.
Ce Myxacium évoque C. vitreopileatus Horak, commun dans ce biotope, tout en étant plus petit, fonçant nettement après la récolte (entièrement brun à 1'état sec), et possédant des spores amygdaliformes-fusoïdes. Il diffère de C. aegrotus Horak, très affine, surtout par son odeur distincte, la réaction alcaline et par l'assombrissement remarquable de tout le carpophore. L'espèce patagonienne C. epileucus Moser en diffère principalement par ses spores plus petites, et C. togularis Horak par un habitus plus robuste et des formations vélaires en guirlandes sur le stipe (MOSER & HORAK, 1975).